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l’essor des ETF continue, les dernières tendances selon ETFGI

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Si la Bourse permet d’investir en direct dans des milliers d’actions – ce qu’on appelle aussi les «titres vifs» –, l’embarras du choix peut décourager l’épargnant, qui pourra préférer s’en remettre à un professionnel. C’est la raison d’être des organismes de placement collectif en valeurs mobilières (OPCVM), toujours dominés par des fonds «classiques» (Sicav et FCP). Dans ce cas, l’épargnant délègue la prise de décision à un gérant, qui compose un portefeuille selon un mandat (actions européennes, américaines, émergentes, technologiques, etc) et son expérience, dans le but de faire mieux qu’un indice de référence déterminé (CAC 40, S&P 500, Nikkei 225, etc), ou benchmark. En guise de rémunération, la société de gestion prélève, sur les parts de fonds vendus aux investisseurs individuels, des commissions annuelles qui varient schématiquement entre 1 et 2% de l’encours, voire plus dans certains cas.
Mais dans les faits, rares sont les fonds qui parviennent à battre leurs benchmarks. C’est la raison pour laquelle l’Américain John Bogle a fondé, au milieu des années 70, le désormais célèbre gestionnaire d’actifs Vanguard. Son produit phare, décrié à son lancement – on parlait alors de «Bogle’s folly» – : un fonds classique se contentant de suivre pas à pas l’indice large S&P 500, qui sera l’ancêtre de la gestion indicielle. Il faudra attendre 1990 pour qu’apparaisse le premier Exchange Traded Fund (ETF), au Canada : spécifiquement conçu pour répliquer l’indice torontois TSX, ce produit de Bourse automatise la gestion indicielle. Et contrairement aux fonds qui ne connaissent qu’une valeur liquidative par jour (le soir après la clôture), l’ETF se traite toute la séance en temps réel, et est donc aussi liquide que les actions qui le composent. Il existe toujours aujourd’hui sous le nom d’iShares S&P/TSX 60 Index ETF, proposé par BlackRock : non seulement sa performance est extrêmement proche de celle du S&P 500, mais ses frais de gestion ne sont que de 0,20% l’an.
En France, l’acronyme ETF est désormais le plus répandu. Maux au Québec, on utilise FNB, pour «fonds négocié en Bourse».

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