la reprise du cycle parapétrolier n’est pas terminée
Certes, le marché parapétrolier nord-américain pourrait stagner en 2023. Mais dans le reste du monde, où «Schlum» est bien implanté, l’augmentation des capacités de production reste à l’ordre du jour.
Pour le géant des services parapétroliers, le redémarrage de l’activité avait été soutenu en 2022: sur l’année, le chiffre d’affaires avait rebondi de 23% à 28,1 milliards de dollars, en permettant (en données ajustées et aux normes GAAP) à la rentabilité opérationnelle de passer de 10,4 à 15,2%, et au bénéfice net de décoller de 83% à 3,14 milliards de dollars (2,18$ par action).
La tendance reste bien orientée cette année: au 1er trimestre, les ventes du groupe ont augmenté de 30% à 7,74 milliards de dollars. Par région, l’Amérique du Nord (+ 32%) est aussi dynamique que l’International (+ 29% ; dont + 41% pour la zone Europe et Afrique), qui concentre environ les trois quarts de l’activité. Schlumberger détient notamment de solides positions auprès des compagnies pétrolières nationales.
Forte croissance et hausse des marges
Olivier Le Peuch, le Français qui est directeur général du groupe depuis l’été 2019, se félicite de ce «solide début d’année». Et il ajoute que «la croissance des ventes du groupe a dépassé celle du nombre…
Cet article est réservé aux abonnés Bourse et placements. Il vous reste 61% à découvrir.
Bourse et placements
Vous avez envie de lire la suite ?
Débloquez tous les articles immédiatement. Sans engagement.
Déjà abonné au Figaro Bourse et placements ?
Connectez-vous
